Moi, c’est Agathe.
Je viens de là où la mer a du caractère : le Finistère.
Petite, je passais mes journées sur la plage de Telgruc-sur-Mer à ramasser des coquillages avec mes parents. Le nez au vent, les mains pleines de sable et le cœur léger.
Ces coquillages, c’était mes trésors. Ils sentaient l’iode, la liberté, et un peu l’enfance aussi.
J’ai voulu retrouver cette sensation ailleurs, mais rien ne vaut le bruit des vagues de Trez Bellec.
Alors je suis revenue.
Chez moi. Là où tout a commencé. Là où chaque bijou que je crée porte un morceau de Bretagne.
Depuis que je suis maman, j’ai recommencé à ramasser des coquillages.
Ceux qui brillent dans le sable doré, ceux qui se cachent au pied des rochers noirs.
J’en ai fait mes plus beaux souvenirs, mes petits trésors de bord de mer.
Et puis j’ai eu envie de les partager.
Pour que d’autres femmes, où qu’elles soient, puissent emporter un peu de Bretagne avec elles.
Alors j’en ai fait des bijoux — simples, vrais, et remplis de sel et de mémoire.
Armeria, plus qu'une fleur...
Du latin armeria maritima, l’armeria est une plante sauvage aux fleurs roses. Elle pousse sur les côtes bretonnes, à même la roche, et résiste contre vents et marées.
Beauté naturelle alliant force et délicatesse, elle ressemble à nos bijoux. Alors nous en avons fait notre symbole.
J’ai la Bretagne à cœur.
Entre terre et mer, entre tradition et modernité, elle m’inspire chaque jour. C’est là que je puise ma force et mes idées.
Depuis 2016, je crée des bijoux qui sentent l’iode et la liberté. Des pièces vraies, avec du caractère, comme les femmes qui les portent.
Chaque bijou raconte un bout d’histoire, un souvenir, une émotion.
Ils sont faits pour durer, traverser le temps, et garder un peu de Bretagne au creux du cou ou au bout des doigts.
Je crée pour qu’elles emportent avec elles un éclat de leur Bretagne — fière, forte, et indomptable.
Nos ateliers
Tous mes bijoux naissent ici, sur la presqu’île de Crozon.
Je les imagine, je les dessine, et j’en assemble une partie dans mon atelier.
Je travaille l’acier inoxydable, le laiton doré à l’or fin et l’argent.
Et, à la demande, l’or — pour celles qui veulent un bijou à transmettre.
Chaque pièce prend forme à partir de mes dessins, grâce à des ateliers avec lesquels je collabore étroitement : en France, mais aussi à l’étranger.
Les moulures sont réalisées en Inde ou en Chine, selon les savoir-faire uniques de chaque atelier.
Je choisis mes partenaires avec exigence : précision, respect du travail bien fait et relations humaines solides.
Rien n’est laissé au hasard.
Mon but ? Faire les choses bien, avec cœur et bon sens breton.